AVORTEMENT: UN COUPLE TEMOIGNE !
Ce temoignage est celui d'un couple qui avait recouru a l'avortement. Nous vous invitons a le lire et a le faire lire autour de vous. L'avortement un poison dans une vie. Celles qui ont au moins une fois avorter ne diront pas le contraire. “une machine infernale”, “monstruosite”, “cet acte inutile” “crime”, “une boucherie” tels sont les noms que certaines d'entre elles ont utilise pour designer l'avortement qui a profondement blesse et detruit leur vie. C'est un poison. Eviez-le ! “La meilleure facon d'avorter un enfant,c'est de le mettre au monde” a dit un defenseur de la vie.
“On a avorté ! J'étais pour l'avortement, mais j'ai changé d'avis !
Ma femme et moi-même avons recouru à l'avortement pensant résoudre une situation, il y a un peu plus de 20 ans. Nous avons demandé l'interruption d'une grossesse inattendue à la fin de nos études. Nous pensions faire un bon choix. Beaucoup nous ont encouragé.
Mais, les conséquences physiques psychologiques furent importantes. Cela a affecté notre vie de couple et même notre relation avec nos enfants, nés vivants, après l'avortement. Nous avions cru que la vie reprendrait comme avant. Mais ce ne fut malheureusement pas la réalité.
Il restait une trace, comme une absence. Il nous a fallu beaucoup de temps pour oser en parler en couple, puis avec nos enfants. Depuis 5 ans, nous avons commencé à en parler aux autres. Depuis, nous croisons la route de beaucoup de personnes ou de couples qui, comme nous, identifient cette blessure et commencent à mettre des mots sur les souffrances qui font suite à l'avortement.
Aujourd'hui, ma femme et moi-même faisons donc partie de ceux, de plus en plus nombreux, qui regrettent infiniment d'avoir choisi d'avorter. Beaucoup de couples ne survivent pas à l'avortement.
Voici, 3 points essentiels de notre bilan, 20 ans après l'avortement :
1. Nous nous sommes trompés.
Cet avortement nous a profondément blessés dans notre relation de couple.
Cela a introduit un fort sentiment d'insécurité relationnelle. Il était faux de résoudre un problème au prix de la vie de l'un de nos enfants. Cela a aussi rendu plus difficile notre relation avec nos enfants suivants qui ont souffert de cette insécurité et de sérieux doutes existentiels.
2. Mieux vaut ne pas se plaindre après un avortement.
Les conséquences psychologiques de l'avortement sont le plus souvent niées aujourd'hui.
Dans notre cas, nous avons repris contact avec les professionnels qui nous ont accompagnés jusqu'à l'avortement. Ils reconnaissent en partie notre blessure. Mais, ils ne veulent pas reconnaître leur part de responsabilité. Ils disent que nos difficultés ne viennent pas de l'avortement, mais de prédispositions psychologiques antérieures.
Soit, mais cette réponse ne nous satisfait pas. C'est un peu facile de nous dire cela après coup. D'autant plus qu'aucune investigation n'a été faite pour déceler une éventuelle contre-indication. Aucune alternative ne nous a jamais été proposée.
3. En tant qu'homme, l'avortement m'a blessé.
C'est mon plus grave échec personnel. J'ai accepté la pire des solutions. Et surtout, je n'ai pas su reconnaître la détresse de ma compagne. Mais, j'ai aussi le sentiment d'avoir été trompé. On m'avait assuré que l'avortement allait résoudre un problème momentané. C'est tout le contraire qui s'est produit.
Le véritable bonheur pour un père est d'apprendre à donner sa vie pour ses enfants. C'est un piège pour un homme de croire qu'il peut se dégager de sa responsabilité ou impunément disposer d'un droit sur la vie de ses enfants. C'est vrai qu'il n'est jamais facile pour un homme d'entrer dans la paternité. Mais, c'est beaucoup plus difficile après l'avortement. Beaucoup d'hommes aujourd'hui ont peur d'avoir des enfants. D'un autre côté, beaucoup de femmes avortent par manque du soutien du père.
C'est un cercle vicieux !
Je témoigne aujourd'hui pour éviter que d'autres ne vivent cette affliction. C'est très difficile pour un père de faire le deuil d'un enfant avorté. Mais sur ce chemin, la Grâce, demandée et reçue, auprès du Ressuscité, a guéri ma famille et lui a rendu la sécurité et l'espérance.”
Le ressuscite dont il parle est le seigneur JESUS-CHRIST. As-tu une fois avorte ?Il veut te pardonner et te guerir de ton avortement que( peut-etre) tu t'efforce vainement d'oublier ou de nier et qui trouble ta conscience. L'avortement est un meurtre,un peche contre Dieu.Exode20:13 ;Proverbes6:17. Mets toi d'accord avec le seigneur sur cette verite.
Demande lui de te pardonner et de te purifier de ce crime ,du sang verse. ” Si nous confessons nos peches,il est fidele et juste pour nous pardonner et pour nous purifier de tout peche” 1Jean1:9. Si tu entends sa voix, n'endurcis pas ton coeur. 2Corinthiens6:2. Qu'attends -tu encore? Fais la paix avec ton Dieu,car aucun meurtrier ne verra le Royaume de Dieu. Tu peux etre pardonnee aujourd'hui !Inutile de te justifier,la repentance est la solution qui s'impose. “Repentez-vous et convertissez-vous ,afin que vos peches soient effaces” Actes 3:19-20. Esaie1:18. L'avortement ne dechire la vie et l'empoisonne. Fuyez le energiquement. Choisissez donc la vie. Que personne ne vous seduise ! Decidez-vous !
“On a avorté ! J'étais pour l'avortement, mais j'ai changé d'avis !
Ma femme et moi-même avons recouru à l'avortement pensant résoudre une situation, il y a un peu plus de 20 ans. Nous avons demandé l'interruption d'une grossesse inattendue à la fin de nos études. Nous pensions faire un bon choix. Beaucoup nous ont encouragé.
Mais, les conséquences physiques psychologiques furent importantes. Cela a affecté notre vie de couple et même notre relation avec nos enfants, nés vivants, après l'avortement. Nous avions cru que la vie reprendrait comme avant. Mais ce ne fut malheureusement pas la réalité.
Il restait une trace, comme une absence. Il nous a fallu beaucoup de temps pour oser en parler en couple, puis avec nos enfants. Depuis 5 ans, nous avons commencé à en parler aux autres. Depuis, nous croisons la route de beaucoup de personnes ou de couples qui, comme nous, identifient cette blessure et commencent à mettre des mots sur les souffrances qui font suite à l'avortement.
Aujourd'hui, ma femme et moi-même faisons donc partie de ceux, de plus en plus nombreux, qui regrettent infiniment d'avoir choisi d'avorter. Beaucoup de couples ne survivent pas à l'avortement.
Voici, 3 points essentiels de notre bilan, 20 ans après l'avortement :
1. Nous nous sommes trompés.
Cet avortement nous a profondément blessés dans notre relation de couple.
Cela a introduit un fort sentiment d'insécurité relationnelle. Il était faux de résoudre un problème au prix de la vie de l'un de nos enfants. Cela a aussi rendu plus difficile notre relation avec nos enfants suivants qui ont souffert de cette insécurité et de sérieux doutes existentiels.
2. Mieux vaut ne pas se plaindre après un avortement.
Les conséquences psychologiques de l'avortement sont le plus souvent niées aujourd'hui.
Dans notre cas, nous avons repris contact avec les professionnels qui nous ont accompagnés jusqu'à l'avortement. Ils reconnaissent en partie notre blessure. Mais, ils ne veulent pas reconnaître leur part de responsabilité. Ils disent que nos difficultés ne viennent pas de l'avortement, mais de prédispositions psychologiques antérieures.
Soit, mais cette réponse ne nous satisfait pas. C'est un peu facile de nous dire cela après coup. D'autant plus qu'aucune investigation n'a été faite pour déceler une éventuelle contre-indication. Aucune alternative ne nous a jamais été proposée.
3. En tant qu'homme, l'avortement m'a blessé.
C'est mon plus grave échec personnel. J'ai accepté la pire des solutions. Et surtout, je n'ai pas su reconnaître la détresse de ma compagne. Mais, j'ai aussi le sentiment d'avoir été trompé. On m'avait assuré que l'avortement allait résoudre un problème momentané. C'est tout le contraire qui s'est produit.
Le véritable bonheur pour un père est d'apprendre à donner sa vie pour ses enfants. C'est un piège pour un homme de croire qu'il peut se dégager de sa responsabilité ou impunément disposer d'un droit sur la vie de ses enfants. C'est vrai qu'il n'est jamais facile pour un homme d'entrer dans la paternité. Mais, c'est beaucoup plus difficile après l'avortement. Beaucoup d'hommes aujourd'hui ont peur d'avoir des enfants. D'un autre côté, beaucoup de femmes avortent par manque du soutien du père.
C'est un cercle vicieux !
Je témoigne aujourd'hui pour éviter que d'autres ne vivent cette affliction. C'est très difficile pour un père de faire le deuil d'un enfant avorté. Mais sur ce chemin, la Grâce, demandée et reçue, auprès du Ressuscité, a guéri ma famille et lui a rendu la sécurité et l'espérance.”
Le ressuscite dont il parle est le seigneur JESUS-CHRIST. As-tu une fois avorte ?Il veut te pardonner et te guerir de ton avortement que( peut-etre) tu t'efforce vainement d'oublier ou de nier et qui trouble ta conscience. L'avortement est un meurtre,un peche contre Dieu.Exode20:13 ;Proverbes6:17. Mets toi d'accord avec le seigneur sur cette verite.
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